Parmis les écrits de Maria Valtorta, l’œuvre principale est publiée en dix tomes sous le titre: L’Evangile tel qu’il m’a été révélé.
Il s’agit du récit qui embrasse l’histoire du Salut depuis la naissance et l’enfance de la Ste Vierge Marie et de son Fils Jésus, les trois années de la vie publique du Sauveur (c’est la partie la plus étendue de l’œuvre) — sa Passion, sa Mort, sa Résurrection et son Ascension —, jusqu’aux débuts de l’Eglise et l’Assomption de Marie.
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Avant que commencent les écrits inspirés, Maria Valtorta nous montre dans son Autobiographie, avec une grande simplicité, comment rencontrer Dieu de manière intime et joyeuse, en acceptant nos faiblesses et nos souffrances.
“ Dans ce récit, je me suis présentée telle que je suis ; on y trouve ma chair avec ses passions humaines, mon âme avec ses espérances spirituelles, mon esprit avec son amour d’adoration. ”
Les trois volumes des Cahiers réunissent un ensemble d’écrits spirituels, doctrinaux, bibliques ainsi que des passages autobiographiques. On y trouvera également des scènes évangéliques et des visions du martyre des premiers chrétiens, enfin un commentaire de l’Apocalypse.
Le Livre d’Azarias, écrit par Maria Valtorta entre 1946 et 1947, consiste essentiellement en un commentaire théologique et spirituel de cinquante-huit messes festives, qui figurent dans le missel en vigueur quand l’auteur était en vie. Cependant, comme avec le temps il deviendra de plus en plus difficile de trouver les missels de saint Pie X, le lecteur trouvera au début de chaque commentaire: le titre de chaque messe; l’indication des passages bibliques respectifs de l’introït, de l’épître, du graduel ou antienne de l’alléluia, de l’évangile, de l’offertoire et de la communion; les textes respectifs de l’oraison, de la secrète et de l’antienne d’après la communion.
La lettre de Saint Paul aux Romains est un des textes les plus importants de la Bible chrétienne: « elle a fourni au christianisme naissant les bases et la structure de son assise théologique« .
À travers 48 leçons dictées à Maria Valtorta de 1948 à 1950, l’Esprit-Saint commente la plus grande partie de cette épître majeure du christianisme. D’autres versets de l’épître sont cependant commentés, ici ou là, dans les autres ouvrages de Maria Valtorta. Il est précédé du texte biblique intégral.
Ces « Carnets » proviennent de textes rédigés entre 1943 et 1954, éparpillés sur des feuilles volantes, sur un cahier, mais également sur trois petits carnets, ainsi que quelques dictées non-datées ajoutés en fin de volume.
Thèmes abordés: Crise de l’église – Les premiers temps de l’Eglise – Commentaires de Jésus sur le Notre-Père et le Je vous salue Marie – Conseils pastoraux – Précisions sur certains textes évangéliques et sur des messages de Marie – Annexe: révélations sur l’emplacement du tombeau de St Pierre.
Bien que absorbée par son engagement en tant qu’écrivaine mystique, Maria Valtorta ne s’isolait pas du monde et suivait les événements à travers les journaux et la radio. Surtout, elle ne négligeait pas sa correspondance épistolaire. Elle disait: “Envoyer une lettre peut être un acte de courtoisie, mais répondre à une lettre est un devoir”. Ainsi, elle ne laissait jamais sa correspondance sans réponse et s’étonnait si elle ne recevait pas de réponse à une de ses lettres de salutations ou de vœux.
